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Vie pour Vie, Tome 2 - Natasha Knight




Je remercie Laure Valentin pour ce service presse.

Aussitôt « Œil pour Œil » achevé, j’ai tout de suite enchainé avec « Vie pour Vie », dans la fin du premier opus m’avait tenue en haleine.

Qu’allait-il advenir de Gabriela ?


Ce second tome est beaucoup plus rythmé que le premier tome, entre rebondissements, suspens, trahison et révélations, on ne s’ennuie pas. Cette fois-ci la romance est abordée et Stefan se révèle être un dominateur qui va initier Gabriela au plaisir. Entre tendresse et dureté, ces deux-là se déchirent. Stefan est avant tout un mafieux qui tente de redorer le blason de son clan. C’est sa priorité. Encore une fois Gabriela se retrouve être un dommage collatéral, plus que jamais considérée comme un pion sur un échiquier. Si elle commence à éprouver des sentiments très forts pour Stefan, le comportement de celui-ci, sa manière de vouloir la protéger et contrôler sa vie, lui donnent l’impression de ne pas avoir une importance pour lui.


La belle est partagée entre raison et sentiments, d’autant plus que son corps la trahit lorsqu’elle est en présence de Stefan. Elle se montre dans cette suite toujours aussi combattive mais commence à baisser les bras, face au comportement parfois déroutant de Stefan. Il montre une part tendre puis tout lui reprendre l’instant d’après. On sent que Gabriela est sur la corde raide, et qu’à tout moment elle pourrait se rompre.

La tension est à son paroxysme entre Gabi et Stefan, on se demande si une issue est possible entre eux, pourront-ils avoir un happy end ?

Ajoutez à cela la menace latente du père de Gabriela et les complots qui se trament au sien du clan Sabbioni et vous obtenez un tome 2 mené tambours battants.


Il m’a manqué quelques chapitres pour faire la liaison entre les évènements qui surviennent dans les derniers chapitres et les 2 épilogues. En effet, la situation est si complexe entre Stefan et Gabriela, les sentiments qu’ils semblent éprouver ne semblent pas être suffisants pour qu’ils se fassent confiance. Les épilogues m’ont paru un peu trop « faciles » et auraient mérité d’être éclaircis de quelques chapitres consacrés aux explications et réconciliations.


« Il ne suffit d’un seul acte héroïque pour être un héros » : cette phrase est répétée à plusieurs reprises dans ce roman, et constitue une sorte de morale à l’ensemble de cette histoire. J’ai trouvé que ces mots sont adaptés et judicieux pour illustrer cette duologie.





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